La beauté : le souverain bien de l'esthétique

Bouguereau, William Adolphe (1825-1905). La naissance de Vénus, huile sur toile, 3 x 2.15 m, 1867.

 

La Beauté : le souverain bien de l'esthétique

 

L’identification du caractère architecte de la Beauté est analysée sous deux volets temporels à l’aide de ce travail. Le siècle de Périclès ainsi que le XIX^e siècle. La Beauté est apportée sous la vision des Grecs avec leur étymologie du terme beau et avec leurs canons de proportions idéales dans les arts. Du point de vue philosophique, Platon est la tête d’affiche qui permet de voir une vision beaucoup plus axé sur la beauté intérieure. Tandis que le mouvement romantisme permet de voir la transition vers une Beauté physique et moral qui se lie d’amitié avec la Laideur. L’analyse sommaire de L’Hymne de la beauté de Charles Baudelaire permet de voir ces antonymes réunis. La Beauté de l’intellect et du sensible sont finalement rabattu sur sa conception actuelle occidentale pour démontrer au lecteur le chemin parcourue par cette idée et surtout de sa place omniprésente dans notre société. 

 

La beauté est une façon abstraite de définir ce qu’il est considéré comme agréable pour l’œil, mais aussi de ce qui découle d’une vision estimée bonne sur le plan philosophique. La beauté peut se percevoir extérieurement par l’esthétique agréable d’une personne ou bien par l’entremise d’une œuvre d’art. Elle peut être aussi intérieure par une personnalité, des valeurs ou par la notion du Bien. L’intérêt de cette idée architecte n’est pas de sortir une liste chronologique des époques et  de ses idéales esthétiques. Au contraire, il s’agit d’acquérir un regard nouveau sur la beauté grâce à un contexte historique différent de celui actuel. En prenant conscience de l’évolution de cette idée, il est possible de voir l’ampleur de son impact sur la société. L’histoire va apporter un sentiment de recul face aux stéréotypes idéaux véhiculés. Tout ceci va commencer par la vision des grecques pour ensuite se tourner vers une vision tout à fait différente chez les romantiques. La transformation se fait par un  délaissement de la perfection pour laisser place à son opposé : la laideur. Le gain principal de cette recherche est conséquemment de pouvoir apporter une lueur d’espoir à chaque individu qui ne croit pas cadrer dans la catégorie prisée de la beauté. 

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Sincèrement désolé pour l'oublie de mise à jour. C'est totalement non professionnel de ma part. Neanmoins, je n'ai toutefois pas oublié de faire des recherches plus approfondies sur mon sujet. J'ai poursuivi mes recherches dans l'idée architecte de la beauté. J'ai débuté ma lecture des premiers chapitres du livre : L'histoire de la beauté. Cela m'a permis de pouvoir enligner mes recherches sur les idéaux physiques de chaque époque. Outre l'aspect plus charnelle, j'ai sortie divers philosophes et poètes qui ont une idée préconçue de la beauté autant psychique que physique. Je crois vouloir jumeler les deux côtés de la beauté soit : la beauté de l'âme et la beauté physique de l'être humain.

Pour ma recherche de projet dans le cours des idées architectes, j'ai commencé à me documenter sur l'idée de la beauté. J'ai debuté des recherches sommaires sur internet (principalement sur universalis).  Grâce à l'article Art (aspect esthétique ) - Le beau,  il m'a été possible d'orienter mes recherches sur d'autres lectures et auteurs importants à travers les âges. Ce sujet m'intéresse réellement.